• PÉTITION CONTRE LES MUTILATIONS GÉNITALES FÉMININESEUROPHYTO et NATURE SANTE se devaient de vous adresser ce document insoutenable pour que cesse cette pratique barbare de l'excision génitale féminine.

    Eloignez les enfants lors du visionnage de cette vidéo horrible et scandaleuse.

    Nous vous invitons à signer la pétition de protestation contre l'excision en vous rendant sur http://www.respect-ev.com/

    Nous vous invitons à faire suivre ce message.

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  • On confond souvent Phytothérapie et Homéopathie. C'est pourquoi EUROPHYTO vous propose leurs définitions respectives.
    Ce document vous permettra de mieux adapter votre démarche de santé.
    PHYTOTHERAPIE
    La phytothérapie, étymologiquement le traitement par les plantes, est une méthode thérapeutique qui utilise l'action des plantes médicinales.
    On peut distinguer deux types de phytothérapie :
    Une pratique traditionnelle, parfois très ancienne basée sur l'utilisation de plantes selon les vertus découvertes empiriquement. Selon l'OMS, cette phytothérapie est considérée comme une médecine traditionnelle et encore massivement employée dans certains pays dont les pays en voie de développement. C'est une médecine parallèle du fait de l'absence d'étude clinique.
    Une pratique basée sur les avancées scientifiques et la recherche des principes actifs des plantes. Cette phytothérapie est assimilée aux médicaments et selon les pays suit les même réglementations (AMM, vente en pharmacie, etc.). On parle alors de pharmacognosie.
    Histoire
    Description de l'usage du cumin et de l'aneth - La matière médicale de Dioscoride, copie en arabe de 1334
    Le premier texte connu sur la médecine par les plantes est gravé sur une tablette d'argile, rédigé par les Sumériens en caractères cunéiformes 3000 ans av. J.-C.; Ils utilisaient des plantes telles le myrte, le chanvre, le thym, le saule en décoctions filtrées.
    Le papyrus médical d'Ebers, environ 1500 ans av. J.-C. est le premier recueil consacré aux plantes médicinales. De loin le plus volumineux connu de l'Égypte ancienne avec « 110 pages », il fait référence à de plus anciens documents citant des dizaines de plantes accompagné d'un mode d'utilisation.
    Les Grecs et les Romains utilisaient également de nombreuses plantes. On en retrouve des références, entre autres, dans l'½uvre de Dioscoride (médecin grec du 1ER SIECLE) (cf. illustration).
    En Europe, les plantes représentent l'essentiel de la pharmacopée jusqu'à la fin du XIXe siècle. Encore largement utilisées après la Seconde Guerre mondiale, elles furent ensuite supplantées par les médicaments de synthèse plus simple d'emploi.
    En France, le diplôme d'herboriste a été supprimé en septembre 1941 par le gouvernement de Vichy. De 4 500 herboristes en 1941, ils sont désormais une dizaine tandis qu'en Allemagne ou en Italie, on compte plusieurs milliers d'herboristes.
    Méthodes : utilisation et fabrication
    En phytothérapie traditionnelle les plantes peuvent être utilisées fraîches, ce qui n'est pas toujours possible, ou séchées, entrant ensuite éventuellement dans des préparations diverses afin de conserver les principes actifs des plantes et éviter toute décomposition. On les administre sous forme de teintures alcooliques, macérats, tisanes, compresses, baumes... (remarque : la tisane ne permet d'extraire que les principes actifs de la plante solubles dans l'eau).
    Un procédé plus récent permet d'obtenir l'ensemble des principes actifs par broyage (cryobroyage sous azote liquide à – 160 °C par exemple) fin de la plante après séchage. La poudre est macérée dans un mélange eau/alcool. Après purification des éléments inertes comme la cellulose, la solution sera séchée jusqu'à obtention d'une poudre. Cette poudre peut être ensuite présentée sous forme de comprimés, gélules, sachets, etc.
    En Europe, certaines plantes sont reconnues comme plantes médicinales, et soumises comme les médicaments à une autorisation de mise sur le marché. De ce fait, les produits extraits de certaines plantes ne sont vendus que dans les pharmacies et parfois sur ordonnance.
    Précautions d'emploi de la phytothérapie
    Certaines plantes contiennent des principes actifs qui peuvent être extrêmement puissants, d'autres sont toxiques à faible dose. Le fait que l'on n'utilise que des plantes ne signifie pas que cela est sans danger, la culture libre de certaines plantes est interdite dans certains pays, le cas le plus courant étant le pavot dont la culture est réglementée en France et destinée à la seule industrie pharmaceutique.
    La pharmacologie reconnaît l'action bénéfique de certaines plantes et s'attache donc à extraire le principe actif de ces plantes. La consommation « brute » de la plante induit la consommation d'autres produits contenus dans la plante que le principe actif, ne permettant ainsi pas de connaître la dose exacte de principe actif ingéré entraînant un risque de sous-dosage ou de surdosage. Pour certains médecins phytothérapeutes, les autres principes vont atténuer les effets secondaires en entrant en interaction. Un exemple : la distillation de la lavande permet de dénombrer plus de 200 molécules différentes, dont des cétones et coumarines, dont la toxicité est moindre que s'ils étaient utilisés seuls .
    La composition d'une plante peut varier d'un spécimen à l'autre, dépendant du terrain, des conditions de croissance, humidité, température, ensoleillement, qui vont déterminer ce que l'on appelle en aromathérapie le chémotype .
    De même, il ne faut pas utiliser des plantes d'origine douteuse, puisque les facteurs de pollution, la cueillette et les méthodes de conservation, de stockage... peuvent altérer les propriétés des plantes.
    Interaction
    La prise simultanée de plantes médicinales et de médicaments peut entraîner l'interaction des deux remèdes et l'apparition d'effets secondaires, parfois graves. Par exemple, le millepertuis peut inhiber l'effet de médicaments comme la digoxine, la théophylline, les anticoagulants à base d'anti-vitamine K, des contraceptifs oraux et certains antidépresseurs, ou d'autres moins utilisés comme la cyclosporine, des traitements contre l'infection à VIH (sida) comme l'amprénavir ou l'indinavir, ou certains anticancéreux.
    Naturel ne signifie pas bénéfique
    Notons enfin que certains présentent la phytothérapie comme méthode « naturelle ». Cet argument du naturel est souvent de type publicitaire ou d'effet de mode jouant sur une ambiguïté : naturel égalerait « bénéfique » et « inoffensif » (alors que la nature n'est ni bonne, ni mauvaise, la mort, la maladie, les venins ou les toxines étant naturels...).
    Symbolique
    Alors que depuis l'Antiquité les spécialistes des plantes étaient clairement identifiés, du médecin à l'herboriste, et que cette séparation est encore en vigueur dans d'autres sociétés de par le monde : certaines plantes sont sacrées, préparées uniquement par la personne qui remplit la fonction de guérisseur.
    HOMEOPATHIE
    L'homéopathie ou hom½opathie (du grec όμοιος / hómoios, « similaire » et πάθος / páthos, « souffrance ») est une méthode thérapeutique basée sur le soin par la "loi de similitude".
    Selon l'hypothèse expérimentale de la "loi de similitude", la détermination des symptômes provoqués chez le sujet sain par une substance quelconque (d'origine végétale, minérale et animale, naturelle ou artificielle) permet de soigner un sujet malade qui présente un ensemble de symptômes semblable .
    L'homéopathie s'oppose à l'allopathie qui désigne tout traitement médicamenteux qui ne s'appuie pas sur la similitude lors du choix thérapeutique - ainsi la phytothérapie est une méthode de soin allopathique.
    Les bases de l'homéopathie ont été posées en 1796 par le médecin saxon Samuel Hahnemann (1755-1843) dans l'organon "de l'art de guérir" et s'organisent en un principe et deux corollaires :
    le principe de « similitude » : la cure d'un ensemble de symptômes est apporté par une substance qui provoque des signes semblables chez un sujet sain, selon le principe similia similibus curantur (en latin « les semblables sont soignés par les plus semblables ») ;
    l'« adaptation » du traitement au patient en est le premier corollaire : l'application du principe de similitude, puis sa vérification, ont lieu chaque fois que la recherche du remède le plus semblable a été effectuée de manière consciencieuse par le praticien. Chaque traitement est personnalisé à chaque patient, quel que soit le nom de la maladie, la recherche de la « totalité » des symptômes présentés par le patient étant au centre de la méthode. Elle explique la longueur du dialogue entre le médecin et le patient. L'étape d'observation des symptômes provoqués par une substance chez l'individu sain, qui précède toujours l'application du principe de similitude, et sa retranscription correspond à l'établissement d'une pathogénicité.
    la « dynamisation » en est le second corollaire expérimental : le principe actif subit des dynamisations, terme désignant des dilutions répétées associées à des « succussions » : la préparation est secouée à chaque dilution.
    L'efficacité thérapeutique de l'homéopathie fait l'objet d'une controverse :
    pour ses partisans, son efficacité est démontrée par les résultats obtenus sur les patients et lorsque la similitude est respectée, par les études cliniques respectant l'individualisation ;
    pour ses opposants, aucune étude clinique classique n'a réussi à établir un effet thérapeutique de l'homéopathie significativement supérieur à celui d'un placebo et, remettent aussi en cause la fiabilité des études positives, reproche également fait par les tenants de l'homéopathie aux études négatives. En France, l'Académie de médecine dénonce une « méthode obsolète », figée depuis plus de deux cents ans et incapable de faire la preuve de son efficacité.
    Les procédés utilisés en homéopathie sont aussi sujets à controverses, en particulier l'utilisation des dilutions extrêmes :
    pour de nombreux scientifiques, aucun processus connu ne permet d'expliquer le mode d'action éventuel de l'homéopathie (au delà de l'effet placebo) et, certains classent ainsi l'homéopathie dans les pseudo-sciences ;
    pour d'autres, des approches des fondements de l'homéopathie peuvent être fournies par des études expérimentales qui ont donné lieu à la formulation d'hypothèses comme celle de la mémoire de l'eau, ou plus généralement par l'observation d'effets physico-chimique de la dynamisation. La validité de ces théories étant toujours débattue.
    L'adjectif correspondant est homéopathique et la personne appliquant cette méthode est un homéopathe. On note que « homéopathique » désigne souvent, dans le langage courant, par un glissement sémantique, une dose minime d'un produit, alors que la spécificité de l'homéopathie tient dans la similitude.
    EUROPHYTO – 5 Rue Henri Rouaud – 49000 ANGERS
    Courriel : info@europhyto.com Web : www.europhyto.com
    Tel : 06 09 82 01 90 & 06 74 19 60 16

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  • Pourquoi faut-il éviter le jus de pamplemousse avec certains médicaments ?La consommation de jus de pamplemousse est contre-indiquée avec la prise de certains médicaments. Pourquoi ? Quels sont les médicaments concernés ?
    Le jus de pamplemousse modifie l'absorption intestinale de certains médicaments : risque de surdosage !

    Jusqu'à aujourd'hui, seul le jus de pamplemousse est connu pour interagir fortement avec quelques médicaments. La nature de cette interaction ne va pas dans le sens d'une ' réduction de l'efficacité de ces médicaments, mais d'une augmentation de la fréquence et de la gravité de leurs effets indésirables ' précise l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).

    Pourquoi ? Tout simplement parce que l'absorption intestinale de certains médicaments est régulée par une enzyme (CYP3A4). Or certaines substances présentes dans le jus de pamplemousse (la bergamottine et un de ses dérivés) entrent en compétition avec cette enzyme, ce qui a pour effet d'augmenter l'absorption intestinale des médicaments. Résultat, le jus de pamplemousse équivaut à produire un surdosage du médicament et à majorer ses effets indésirables.

    Jus de pamplemousse : quels sont les médicaments concernés ?

    Deux classes médicamenteuses sont particulièrement concernées.
    Ce sont des médicaments dits immunosuppresseurs préconisés contre les rejets de greffes, comme le tacrolimus et la ciclosporine (dénomination internationale commune), avec un risque accru de toxicité pour les reins si le jus de pamplemousse est bu de façon régulière en même temps que le médicament.
    Ce sont également certains médicaments utilisés pour faire baisser le taux de cholestérol dans le sang comme l'atorvastatine et encore plus particulièrement la simvastatine. Concernant l'atorvastatine, la prise concomitante de jus de pamplemousse revient à doubler la dose du médicament. Quant à la simvastatine, le jus de pamplemousse multiplie par 15 l'absorption de ce médicament, ce qui équivaut à prendre la dose de 2 semaines en une seule fois ! Au final, associer le jus de pamplemousse et ces médicaments peut provoquer des atteintes musculaires graves.
    En pratique, l'Afssaps conseille donc ' d'éviter de prendre du jus de pamplemousse dans les deux heures qui précèdent la prise de ces médicaments, et de limiter la consommation à moins d'un quart de litre par jour '.

    Attention, seul le jus de pamplemousse est concerné. Les autres jus de fruits, comme les jus d'orange, de pomme ou autre, n'ont aucune influence de ce type et sont donc autorisés avec les traitements médicamenteux.

    Alors un conseil, lisez bien la notice de vos médicaments, notamment la rubrique ' interactions ' où sont systématiquement indiqués les aliments qu'il faut éviter de consommer lorsque l'on suit un traitement médicamenteux.

    20/10/2008
    Isabelle Eustache
    Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), mise au point, octobre 2008.

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